Huitième étape

Publié le par Matthieu Deprieck

Viendez-voir mais quoi ! Aujourd'hui, puisque nous approchons de la fin du voyage (oui, je sais c'est dur), il faut bien hausser le niveau du jeu. Alors, je vous l'accorde avec cette photo, il est quasi-impossible de trouver la réponse. Un indice chez vous, comme dirait l'autre : cette photo a été prise dans une boutique à Tel Aviv. A la huitième étape, vous êtes donc dans :


- une agence de voyages. Ces personnes comptaient partir en vacances dans la région mais la guerre avec le Liban, les déclarations belliqueuses d'Ahmadinejad et les tensions avec les populations arabes en général les en ont dissuadés. Les Israéliens proposent donc de vendre à bas prix leur séjour.

- une boutique d'affaires de camping, de randonnées,... Après l'armée, les jeunes Israéliens partent en voyage à l'autre bout du monde. C'est une tradition : ils cherchent donc souvent des compagnons de voyage, soit pour réduire le coût du séjour sur place, soit pour simplement grouper les départs et payer moins cher l'avion ou le bus.

- un supermarché. Les Israéliens s'échangent des idées recettes sur de grands panneaux à l'entrée du magasin. Sur ces petits bouts de papier, se trouvent tous les ingrédients nécessaires et les rayons où les trouver.
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C
Je dois reconnoistre pour ma part qu'à la huitième étape, ma verve se tarit. Mon courroux ne se dresse plus devant les suaves commentaires du prince. En gros, j'ai pu grand chose à dire. Vivement pourtant la chapelle chez lord (le centre névralgique, t'es sûr que c'est bien le tableau velleda) (celui ou le dessinateur gautier d., ethylique, tentait lamentablement de caricaturer certains d'entre nous?) ? bon ben v'la tout a tantot
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P
Alors là cette fois ouais, ok, je suis d'accord. Il ne peut s'agir que d'une photo étrangère, tout le monde sait bien qu'à Dunkerque quand on a un truc à dire on utilise un tableau Velleda et un bon feutre. J'en veux pour témoins toute la famille VDB dont le fameux tableau est le centre névralgique des renseignements en principauté, une mine d'or pour qui sait l'exploiter. Je ne divulguerai donc pas + d'informations sur le lieu où se cache cet objet inestimable afin de laisser à cette demeure le semblant de paix qu'elle tente de retrouver depuis le départ de son fils prodigue, le bien aimé Lord Guiness. Vive les Tostadas, vivement la chapelle, et à quand le choeur de l'armée bourrée sur les murets d'la cour ?<br /> PS : J'organise une collecte de fonds afin d'envoyer à Tel Aviv un carton de post-its, car il faut bien reconnaître que les punaises, c'est relou !
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